L'utilisation de mesures ciblées permettant une amélioration du contenu est devenu une seconde nature. Mais saviez-vous que vous pouviez également utiliser des outils d'analyse pour auditer votre contenu ? Dirigeons notre regard vers les audits de contenu et sur la manière de les analyser.

La vérification du contenu implique une analyse détaillée de ce dernier pour éliminer les pages peu performantes, identifier les pages périmées ou avec de fausses informations, et repérer les pages qui ont un mauvais SEO. L'objectif est de résoudre ces problèmes afin de rationaliser le fonctionnement du site et garder les visiteurs satisfaits (à la fois les nouveaux et les anciens) .

La vérification du contenu vous permet également de réorganiser le contenu existant pour améliorer son classement dans les moteurs recherche, ou encore de développer des contenus similaires aux pages qui ont déjà eu du succès. C'est une des meilleures façons de maintenir la qualité de votre contenu en cours. Vous pouvez auditer vous-même le contenu ou embaucher un professionnel.

L'inconvéniant de faire une vérification du contenu par soi-même est le temps qu'il faudra y consacrer. Le niveau de difficulté est également élevé. Vous devez savoir bien écrire (un élément fondamental d'un audit est d'identifier le bien et le mal écrit), et connaître les techniques de base pour éviter un référencement approximatif comprenant des erreurs.

Il y a beaucoup de discussions autour du ROI (retour sur investissement) en tant que mesure marketing... mais, pour le marketing orienté sur des campagnes, le retour sur investissement (ROI) est fondamentalement inadapté. Un nouveau regard sur le retour sur investissement, via une Etude de cas, pourrait être la bonne approche en Content marketing : Je suis parti en voyage au cours des derniers mois et je me suis interessé à l'histoire du Marketing et à ses mesures. Je me suis senti un peu comme Indiana Jones. Les livres que j'ai acheté durant mon voyage sont épuisés depuis longtemps, ils sont parfois en lambeaux et usés, j'ai parfois l'impression de trouver des objets d'un monde perdu.

Plongé dans le marketing digital depuis 1995 maintenant, je publie à partir d'aujourd'hui et après plus de 20 ans de pratique, une série d'articles sur mon expérience et mes usages au quotidien. Sans doctrine de boudoir, ces articles chercheront à être courts, pratiques, simples à lire, décomposant à chaque fois une toute petite partie de ce sujet immense et abyssal qu'est le marketing digital. J'ai très souvent et depuis très longtemps écrit pour les autres, j'écris maintenant pour mon propre compte. C'est parti !

Le marketing digital présente des spécificités, codes professionnels, le différenciant en partie du marketing classique. Ainsi, générant de nouvelles formes d'accès à l'information, d’interactivité et d'échanges, il permet une personnalisation des produits/services et donc, centralement, de la relation clients grâce à "l'intelligence" et la maturité des technologies digitales actuelles.

Pourquoi analyser votre contenu ?

Avant de plonger dans les chiffres, demandez-vous : que voulez-vous réaliser avec votre Content Marketing ?

Vos réponses vont probablement vous orienter vers une (ou plusieurs) des huit catégories de mesure que je partage avec vous pour vous aider à améliorer vos analyses et ainsi mieux définir votre marketing de contenu. Au CMI, nous avons récemment publié une étude sur le marketing digital B2B qui montre que 55% des spécialistes du marketing B2B ne sont pas sûr de pouvoir déterminer à quoi pourrait ressembler un programme de marketing de contenu efficace au sein de leur organisation.

La difficile mesure du ROI (=Retour sur investissement)

Les données sont éparpillées un peu partout et d’autant plus lorsque l’on utilise différentes applications. C’est en effet là une des forces de Joomla! : Centraliser l’ensemble de ses applications (=extensions Joomla) au sein d’une même base de données permettant ainsi une centralisation de ses données, facilitant alors exploitation et leur analyse.

Bien que cet état de fait facilite la mesure du ROI, la difficulté réside surtout dans le choix des données à analyser et dans leur interprétation. En effet, il faut se poser les bonnes questions avec les bonnes données sous peine sinon d’arriver à des conclusions erronées ou inutiles.